En plus des captures d’écran visibles sur l’annonce de Below50, toutes les données liées au tracking (trafic, SEO, acquisition, ect…) doit être vérifiées en demandant un accès à Google Analytics, la Search Console ou autre outil de tracking de trafic utilisé.
Sur Google Analytics et la Search Console, vous pouvez demander un accès "lecture".
Parfois, les vendeurs non familiers avec la plateforme peuvent avoir peur de partager un accès à ces outils. Assurez-vous de leur préciser qu'il ne s'agit pas d'un accès administrateur, mais seulement d'un accès en "lecture" qui ne vous permettra pas de modifier quoi que ce soit.
D'un autre côté, Google Analytics et la Search Console ne possèdent aucune donnée confidentielle, comme les adresses des clients. Cela peut également vous rassurer si vous rencontrez un blocage.
L'ouverture de Google Analytics (ou autre outil de tracking) est une preuve de bonne foi !
Il existe d’autres outils tels que SemRush, SEObserver; Ahref, et bien d’autres, qui permettent de vérifier quelques données avant d’avoir les accès à Google Analytics et Search Console.
Mais ces données ne sont basées que sur des estimations. Il faut donc faire une double vérification entre ces estimations et l’accès aux données réelles.
Si le vendeur ou la vendeuse utilise des outils comme Matomo, Plausible, Clicky, ce sont des alternatives de Google Analytics tout à fait valables pour analyser également la partie web.
Un partage d’écran en visioconférence peut également être envisagé pour une première analyse de votre côté.
Il n'y a aucune information sur ces outils, qui permettrait de copier un site ou d'avoir des informations confidentielles critiques, n’avancez pas si le vendeur ou la vendeuse refuse un accès ou un partage d’écran. Il est essentiel de pouvoir vérifier ces données !
Une fois les accès ouverts (ou via un partage d’écran), vous pouvez alors vérifier que les captures sur l’annonce correspondent bien à l’existant.
Comme la vérification de la tendance du chiffre d’affaires par la suite, ici, vous pouvez analyser la tendance du trafic, et plus particulièrement la tendance du trafic organique (car l’acquisition via la publicité n’a pas à proprement parler de tendance, c’est le vendeur ou la vendeuse qui décide quand lancer des publicités ou pas).
Il faut alors comprendre pourquoi.
Est-ce que le site est à l’abandon ? Est-ce que la tendance de recherche sur Google est en décroissance ? Est-ce que la mode est passée ? Est-ce que le site a subi une pénalité Google ? Est-ce que le site a subi une mise à jour de l’algorithme Google qui n’a pas été en sa faveur ?
Le vendeur ou la vendeuse aura souvent tendance à dire qu’il ne s’occupe plus de son site. Ce qui peut être vrai. Mais, creusez un peu plus : essayez de comprendre depuis quand il ou elle a stoppé les publications par exemple.
Et vérifiez si cette date correspond à la décroissance progressive du site.
En général, une décroissance suite à une mise à jour Google se voit facilement car le trafic chute assez brutalement. Ce qui n’est pas le cas lorsqu’on stoppe de publier des articles pour maintenir le SEO par exemple.
Un trafic stable depuis plusieurs mois, et encore mieux plusieurs années est évidemment une excellente base. Mais un trafic "stable" à l'année n'empêche pas d'observer des variations parfois importantes sur des périodes ciblées.
On parle alors de saisonnalité.
Voici des exemples de trafic saisonnier, où des variations brutales de trafic apparaissent régulièrement, mais ne peuvent évidemment pas être comptabilisées comme des chutes / hausses réelles puisque tout revient à chaque fois à la normale dès la fin de la saison.
Exemple d'un site marqué par une saisonnalité étudiante :
Exemple d'un site marqué par la saisonnalité “Noël” avec des pics ciblés :
Mais essayez également de comprendre pourquoi, c'est toujours intéressant de savoir quels ont été les changements qui ont eu cet impact positif ou quel est le travail effectué au quotidien qui permet de maintenir cette courbe croissante.
S'il y a des saisonnalités, cela doit pouvoir se confirmer d’une année sur l’autre. S'il y a des changements majeurs dans cette comparaison, n’hésitez pas à demander au vendeur ou la vendeuse ce qu'il ou elle en pense.
On pourrait s’imaginer que plus le trafic est important, mieux c’est. Certes ! Mais cela dépend également de la niche et de la thématique. Par exemple, on peut avoir un “petit” trafic en B2B qui génère autant voire plus qu’en B2C.
Vous pouvez avoir des sites qui génèrent plusieurs milliers d'euros par mois avec un trafic faible (1 000-5 000 visites / mois). Cela dépend du mode de monétisation, de la niche, etc…
À l’inverse, des sites bien plus “gros” en termes de trafic, peuvent générer très peu de revenus si la niche est difficile à monétiser (recettes de cuisine, forums, etc…).
Nous vous conseillons alors de comparer le trafic du site à analyser avec d’autres sites dans le domaine (via des outils comme Semrush ou SEObserver).
Que se passe-t-il ici ? Un pic marqué apparaît suivi d'une forte baisse est, au premier regard, un indicateur assez négatif sur un site que vous analysez. Mais cette courbe est la courbe "générale". Elle reprend donc tous les canaux d'acquisition et ne permet pas d'indentifier si le site a perdu en SEO ou d'une autre source.
Pour comprendre à quoi est du ce pic et identifier un potentiel problème sur le site, il est donc nécessaire d'identifier quels sont les canaux d’acquisition concernés (voir section sur les canaux d’acquisition). Tout ceci est possible sur Google Analytics.
En faisant apparaître la répartition des visites par canaux, nous observons qu'ici ce n’est pas le trafic naturel (SEO) qui est concerné par la variation, mais bien le "Referral" (en vert sur l'image ci-dessous).
Le vendeur ou la vendeuse a donc à un moment bénéficié de trafic en provenance d'un autre site parlant du sien, créant un pic qui a fini par disparaître dès le "buzz" terminé.
Cette hausse mérite donc d'être pondérée. Pendant ce temps, le reste des canaux n'a pas bougé et nous pouvons conclure que ce ce site est plutôt stable.
Vérifier la provenance géographique des visites du site doit vous permettre de valider que les visites obtenues sont cohérentes avec le marché visé.
Sur un site en Français, la grande majorité du trafic doit donc provenir de France. En cas de pourcentage trop élevé de trafic en provenance de pays autres, il est possible que ce trafic ne soit pas pérenne.
Si le site étudié vise le Maghreb, il est alors plus logique de voir remonter en tête de liste des pays Francophones de cette zone géographique.
En général, ce critère est vérifié par notre équipe. Nous n’acceptons pas sur nos plateformes des sites dont les visites proviennent de pays non alignés avec le marché visé par le site en question.
Cette étape “bonus” permet d’avoir une idée précise de la date de lancement du site et d’identifier de possibles changements de propriétaires au cours de la durée de vie du site, depuis son enregistrement initial.
Plus un site est ancien, plus il est passé au travers des mises à jour des algorithmes Google. Ce qui est un bon signe !
Étapes de vérification :
Point d'attention:
Attention aux sites avec peu d’ancienneté, il y a un plus grand risque de perte de trafic suite aux mises à jour des algorithmes de Google.
Exemple avec le site ci-dessous :
- Date de lancement : Septembre 2018.
- Mise en vente : Mars 2020.
- Nous remarquons que 14 mois après le lancement et suite à une jolie croissance, le site décroît et cela est dû à une mise à jour Google (chute brute que l’on peut voir si on fait une analyse macro (à la semaine ou par jour) sur une période réduite. Ici entre octobre et novembre.
- Il se peut aussi, que le pic du mois d’octobre, soit une saisonnalité (exemple de saisonnalité pic au mois de décembre pour Noël). Mais nous ne pourrons être sûrs de ça uniquement si nous avons au moins 24 mois de données visibles.
Une source d'acquisition dans le contexte du trafic se réfère à la provenance ou à l'origine d'un visiteur sur un site web. Il s'agit de la manière dont cette personne a découvert ou a accédé à la plateforme.
Une source d'acquisition peut être un moteur de recherche (Google, Bing, …), un lien sur un site tiers, une publicité, un e-mail, les réseaux sociaux, etc...
Sur Google Analytics 3, dans le menu de gauche, cliquez sur Acquisition > Tout le trafic > Canaux.
Vous pourrez alors analyser d’où proviennent les visiteurs qui génèrent le trafic du site web et analyser la pérennité de ces sources :
Analyser le trafic via les différents canaux permet également de détecter des chutes de trafic SEO et non un arrêt des publicités par exemple.
Ici par exemple, on remarque une chute du SEO au mois de septembre.
N’hésitez pas à faire des analyses plus macro (plage de date + affichage par semaine ou par jour) pour situer les dates et demander au vendeur ou à la vendeuse ce qu’il s’est passé à ce moment-là.
La vue d'ensemble du compte vous donne un premier aperçu des métriques principales du compte.
Mais cela n'est pas suffisant dans l'analyse et on va voir quels éléments vérifier pour avoir une lecture cohérente de ces chiffres.
Regardez si les conversions ne sont pas générées par des requêtes liées à la marque. En effet, les conversions générées par une requête branding ne peuvent pas être considérées comme de l'acquisition pure.
Est-ce que si quelqu'un a tapé "monbeausite", a cliqué sur une publicité et a acheté sur monbeausite.fr, on veut considérer cela comme de l'acquisition ?
Pour cela, rendez-vous pour les campagnes Search dans "Insights et Rapports" / "Termes de recherche"
Pour les campagnes Performance Max, rendez-vous dans "Insights" / descendez jusqu'à "Consommateurs clés"
Rendez-vous dans "Outils et Paramètres" / "Conversions"
Ici, on a un bon exemple de conversions enregistrées 3 fois pour une même commande (via Google Tag Manager, GA4 et Universal Analytics). Si les conversions sont catégorisées comme "Principale", cela signifie que leur valeur de conversion entrera dans les statistiques de ROI et sera prise en compte par les stratégies d'enchères CPA, ROAS, Maximiser les conversions, etc.
Cela fausse la lecture des statistiques et peut laisser penser que les campagnes sont 3 fois plus rentables que ce qu'elles ne sont vraiment.
Les conversions peuvent aussi parfois inclure la valeur des paniers non convertis ou des valeurs définies par le gestionnaire de compte et liées à différents évènements sur le site. Vérifiez donc bien quelles conversions sont catégorisées "Principales" pour avoir une bonne lecture du ROI des campagnes.
Un compte sans suivi des conversions ou avec un suivi incomplet / erroné peut-être une bonne opportunité d'amélioration.
En effet, Google Ads fonctionne désormais majoritairement avec des stratégies d'enchères basées sur les conversions et du machine learning.
Plus le tracking en place est précis et juste, plus vous donnez de matière aux algorithmes de Google pour maximiser le retour sur investissement.
Une vérification rapide à faire est de comparer le nombre de clics générés dans Google Ads et dans Google Analytics.
S'il y a une différence importante, alors peut-être que certaines visites Ads sont comptabilisées comme du trafic direct ou organique.
Ce que l'on aime voir lorsque l'on audite un compte Google Ads ce sont des petites erreurs qui une fois corrigées peuvent avoir un impact à la fois rapide et important sur les performances ROI.
En voici quelques exemples :
Les termes de recherche (mots-clés réellement tapés par les internautes) différent des mots-clés présents dans les campagnes (mot-clé acheté et sur lequel l'annonceur enchérit).
En fonction des types de correspondances de mots, l'écart entre les termes de recherche et les mots-clés peut-être plus ou moins grand.
On voit régulièrement des choses assez surprenantes (un coach sportif qui dépense des centaines d'€ par mois sur de la livraison de pizza ou un E-commerçant qui paye majoritairement pour des requêtes informationnelles)
Pour en savoir plus sur les types de correspondances : https://support.google.com/google-ads/answer/7478529?hl=fr
Google a la fâcheuse tendance à préconiser des paramètres de base qui ne sont pas favorables au gestionnaire de comptes Google Ads (mais plutôt à son porte-monnaie).
Parmi ces exemples, la géolocalisation des visiteurs qui paramétré avec les valeurs d'origine peut vite attirer du trafic non qualifié. Un exemple fréquent pour les francophones et de la dépense de budget importante sur les pays de Maghreb, Canada, Belgique qui n'est pas toujours pertinente.
Pour accéder aux localisations réelles des visiteurs ayant cliqué sur les publicités du compte, rendez-vous dans "Zones" et cliquez sur "Zones géographiques correspondantes".
Le point d'attention prioritaire sur un compte Facebook Ads devra être porté aux éventuels bannissements du Business Manager.
Premier point de vérification : le compte est-il toujours actif ? Pour le vérifier, demandez au vendeur de se connecter en live à son business manager.
Deuxième point de vérification : concerne les bannissements antérieurs du Facebook Business Manager. Si le vendeur vous dit qu'il fait du Facebook Ads depuis 2 ans mais que l'historique du Business Manager auquel vous avez accès ne vous propose que 6 mois d'ancienneté, c'est que le précédent BM a probablement été banni. Dans tous les cas, n'hésitez pas à lui poser la question !
Comparez également l'ancienneté du Business Manager avec les statistiques de visites dans Google Analytics.
Le Facebook Pixel, est un bout de code qui vous permet de tracker les différents évènements sur votre site (ajout au panier, commande, etc), collecter des données sur vos visiteurs, créer des audiences personnalisées et de lancer des campagnes de remarketing. Il est indispensable à un compte Facebook Ads optimisé.
Vérifiez si le Pixel Facebook est en place : https://www.facebook.com/business/tools/meta-pixel
Si ce n'est pas le cas, ce n'est pas rédhibitoire, mais cela signifie que le vendeur ne peut pas tracker ses ventes, ses taux de conversion ect. D'autre part, que le vendeur n'est pas du tout expérimenté sur Facebook Ads ;)
Regardez les creatives en place dans les campagnes. Vous paraissent-elles efficaces ? Captent-elles bien l'attention du prospect ?
Vous pouvez vous insiprer des publicités des concurrents grâce à l'outil suivant de Facebook : https://www.facebook.com/ads/library/?active_status=all&ad_type=political_and_issue_ads&country=FR&sort_data[direction]=desc&sort_data[mode]=relevancy_monthly_grouped&media_type=all
Les landing pages sont-elles pertinentes ?
Vous pouvez également consulter les données de qualité de la publicité (qualité, taux d'interaction, taux de conversion)
Pour valider que le site est "solide", pensez à vérifier que le trafic n'est pas concentré sur une ou deux pages seulement.
Pour vérifier ça, sur Google Analytics, rendez-vous dans le menu à gauche : Comportement → Contenu du site → Pages de destination.
Sur une période de 6 ou 12 mois (à changer en haut à droite), vous aurez les % de répartition du trafic.
Pourquoi vérifier cela ?
Car si le site dépend de seulement une ou deux pages et que l'une d'entre elles subit une pénalité dans le futur, cela entraînera une forte chute de trafic du site web. (Analyse à faire sur du trafic naturel (SEO) uniquement)
Important : Vérifiez que les principales pages du site générant ou AYANT généré du trafic existent toujours !
N’hésitez pas également à comparer sur des périodes différentes (par exemple sur les 6 derniers mois VS sur les 2 derniers mois), quelles sont les pages qui génèrent le plus de trafic.
Il est important de vérifier les pages les plus visitées sur un site e-commerce pour déterminer si le trafic arrive sur un produit spécifique, une catégorie ou une page de blog.
Si l'une des pages les plus consultées correspond à un produit en vente, vérifiez si le produit est toujours en stock.
Si la majorité du trafic arrive sur des pages de blog, vérifiez si ces pages renvoient vers une catégorie de vente ou vers un produit spécifique, puis étudiez la conversion sur ce type de produit.
Si la page de blog visitée ne renvoie pas vers un parcours de vente, cela peut être vu comme une optimisation à prévoir.
Cependant, il est important de noter que pour un site e-commerce, le trafic doit principalement se concentrer sur les pages de catégorie ou les pages produits, et non sur des pages d'information (comme un blog).
N'oubliez pas de vérifier que le tunnel de commande est exclu des pages les plus consultées (important pour les "petits" sites).
Il existe plusieurs façons de monétiser un site internet. Voici les principaux types de monétisation que vous retrouverez sur notre plateforme :
Un site de contenu sera en général monétisé par un des moyens suivants :
Sur les sites e-commerce ou dropshipping :
Sur les SaaS, en général, vous trouverez des systèmes d’abonnement.
Le propriétaire du site vous indique comment il se rémunère, et quel mode de monétisation il ou elle a mis en place.
Mais il est toujours intéressant de faire un petit tour sur le site afin de vérifier s'il n’y a pas eu des tests sur d’autres modes de monétisation, ou des choses oubliées .
En visitant le site web, regardez, par exemple, s'il a des encarts de publicité, des liens d'affiliation, un panier (ecommerce/drop), un encart pour récupérer des emails, ect...
Le vendeur indique qu’il fait de l’affiliation avec Amazon. Or sur quelques pages du site en question, vous voyez des encarts publicitaires. Vous demandez alors au vendeur ce qu’il génère avec ces publicités. Le vendeur vous répond : “j’ai fait des tests de pub, mais rien de vraiment concluant”. Votre objectif à vous est de développer le site, et augmenter les revenus n’est-ce pas ? Donc si les pubs n’ont pas fonctionnées, ne les prenez pas en compte dans vos projections d’optimisation des revenus. Par contre, si les pubs ont mal été paramétrées, vous pourrez alors vous dire qu’en les optimisant, vous pourrez générer des revenus complémentaires à l’affiliation.
Avec l’outil Google Search Console, (mais aussi via d’autres outils comme SEMrush, SEOberver) vous pouvez analyser les mots clés qui génèrent le trafic organique/naturel.
Cela permet d’analyser :
Cette étape est importante car un bon site génère du trafic sur des mots clés “pertinents” !
Si les mots clés ont des tendances de mots clés “spammy”, le site ne sera pas considéré comme un site de qualité.
Un exemple de mots clés “spammy” : champ lexical autour de la thématique “adulte” (si bien évidemment le site n’est pas dans cette thématique).
Pensez à vérifier si les liens pointant vers le site analysé ne proviennent pas essentiellement de sites qui génèrent du spam ou qui sont dans des thématiques totalement opposées au site en vente.
Cette vérification se fait avec des outils comme SEObserver, SEMrush, Ahref, ou directement via la Search Console si vous y avez accès.
Étudiez le profil de lien pour identifier la possible présence de liens issus d’un Réseau de Blog Privé (PBN) pouvant ne pas être maintenus après la vente.
Les réseaux de blog privé sont utilisés pour créer des “boost” d’autorité entre les différents sites de ce réseau.
Si un PBN est existant, le vendeur ou la vendeuse devra vendre son PBN avec le site.
Attentions aux sites artificiellement boostés par un PBN non signalé.
Il est rare d’avoir des sites ayant eu des pénalités manuelles de la part de Google. Mais il faut quand même le vérifier !
Pour cela, RDV dans la search console > panneau de gauche > pénalité manuelle.
Si tout va bien, vous atterrirez sur la page suivante :
Si une pénalité s’affiche…. C’est un STOP immédiat évidemment !
Des outils comme https://www.copyscape.com permettent de vérifier si le contenu du site que vous analysez est bien unique et n’a pas été dupliqué sur un autre site (par quelqu’un) ou que le contenu du site n’est pas lui-même copié sur un autre site.
En cas d’alerte ou de doute, pensez à demander des explications au vendeur ou à la vendeuse et continuez vos analyses.
Si c’est le site que vous analysez qui a été dupliqué par une personne peu honnête, vous pouvez demander au propriétaire actuel du site de remplir un formulaire de DMCA pour faire “fermer” le site incriminé.
À noter : il existe de nombreux sites proposant de payer pour s’occuper de la démarche de DMCA. Cette démarche est gratuite et le formulaire est simple à remplir sans avoir besoin de passer par une agence.
Copyscape
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